Les jeunes d’Asie du Sud-Est sont à la pointe du combat pour provoquer un changement politique, comme à Hong Kong et en Thaïlande, en utilisant les médias sociaux.
Mais les puissances régionales (Singapour, Thaïlande, Hong Kong), tentent d’étouffer le mouvement par le biais des lois anti-fausses nouvelles et de lois sur la cybercriminalité.
La prédominance du discours de haine (hate speech) et des positions extrémistes sur les plateformes de médias sociaux telles que Facebook ajoute une dimension supplémentaire au paysage médiatique en Asie du Sud-Est.
En particulier au Myanmar où le discours de haine en ligne contre les minorités ethniques est difficile à surveiller ou à contrôler.